Robe de marié – Pierre Lemaitre

 

Edition : Le livre de poche

Date de sortie : 20/01/10 (poche)

Pages : 314

Prix : 7,40 (poche)

Thèmes : Thriller, Polar, Suspens, Meurtres, Folie

 

Nul n’est à l’abris de la folie. Sophie, une jeune femme qui mène une existence paisible, commence à sombrer lentement dans la démence : mille petits signes inquiétants s’accumulent, puis tout s’accélère. Est-elle responsable de la mort de sa belle mère, de celle de son mari infirme ? Peu à peu, elle se retrouve impliquée dans plusieurs meurtres dont, curieusement, elle n’a aucun souvenir. Alors, désespérée mais lucide, elle organise sa fuite : elle change de nom, de vie, se marie, mais son douloureux passé la rattrape…

Je me suis lancée dans cette lecture grâce au challenge tour de France des thrillers dans lequel je me suis lancée il y a quelques mois. Ce challenge consistant à découvrir une vingtaine d’auteurs de thrillers français, je me suis décidée à découvrir Pierre Lemaitre avec son thriller plutôt connu, Robe de marié.

Ma chronique va être assez courte je pense, puisque je vais essayer de t’en dire le moins possible.

On rencontre Sophie, une très jolie jeune femme qui semble très seule et qui du jour au lendemain se retrouve avec deux meurtres sur le dos et doit donc s’enfuir au plus vite avant d’être suspectée. Elle va alors redoubler d’inventivité pour se reconstruire une vie non sans difficultés lorsqu’on a commis des meurtres sans s’en souvenir.

Le roman est découpé en plusieurs parties, 4 exactement. 4 parties sur des points de vue différents qui chacune nous fait douter de tout, est-ce réellement Sophie qui tombe dans la folie, pourquoi fait-elle ça, pourquoi ne se rappelle t-elle pas des meurtres qu’elle a commis ?

« Trouver les toilettes, se recoiffer, se reconcentrer, ranger les billets proprement, décider d’une destination, d’un plan, voilà ce qu’il faut faire. Et allumer une cigarette, tout de suite. »

J’ai dévoré la première partie dans le train, pour ensuite enchaîner les autres qui nous montre que l’on a rien compris, que tout ce que l’on pensait comprendre n’était que l’auteur qui nous a brouillé les pistes.

« Je viens de l’apercevoir pour la première fois. Elle s’appelle Sophie. Elle sortait de chez elle. Je n’ai guère distingué que sa silhouette. Visiblement, c’est une femme pressée. »

J’adore ce genre de romans sur la psychologie des personnages, comment quelqu’un de totalement quelconque peut tomber lentement dans la folie et se mettre à commettre des meurtres.

« Sophie se met à pleurer, rien n’y fait, elle ne peut plus réfléchir, elle ne peut plus penser, elle ne peut que pleurer, sa tête dodeline de droite et de gauche sous l’effet de ce malheur irréparable qu’est sa vie, étalée là. »

Pour conclure, l’auteur nous délivre une histoire très bien ficelée, qui nous tient en haleine avec une écriture addictive et une fin qui nous laisse sur un retournement de situation assez satisfaisant.

♥ ♥ ♥ ♥/5

 

Bon, je suis désolée pour cette chronique, j’en suis assez insatisfaite, je ne sais pas si je la laisserai sur le blog, mais peut être que tu attendais mon avis donc comme ça tu peux voir un peu ce que j’en ai pensé. Je sais qu’il est un peu décousu mais je ne sais pas ce qu’il s’est passé j’ai eu beaucoup de mal à l’écrire !

 

Et toi ? As-tu lu ce roman ? Qu’en as tu pensé ? Te donne t-il envie ?

Je te souhaite de merveilleuses lectures